Le plus souvent, force est de constater que l’union d’un couple mène à l’acquisition de plusieurs biens matérielles. Parmi ces biens, il peut figurer un bien immobilier comme une maison par exemple. Mais néanmoins, lorsqu’il y a divorce, cela devient un problème, car cette situation conduit à des possibilités diverses.
Conserver sa maison en cas de divorce
Pour obtenir Plus d’informations sur le sujet, allez sur https://www.avocat-secours.fr/. Pendant un divorce, il est normal que l’un des conjoints éprouve l’envie de conserver la maison qu’ils ont acheté ensemble. Dans ce cas précis, il faudra vérifier si le bien est commun. Si c’est le cas, celui qui désire le garder sera obligé de faire un rachat de soulte. Le rachat de soulte est une démarche légale qui permettra à ce dernier de racheter les autres parts de son conjoint. Dès que le rachat est fait, celui-ci deviendra le seul propriétaire du bien immobilier. Pour parvenir au rachat de soulte avec succès, deux possibilités s’offrent à vous. La première consiste à verser à votre ex-conjoint la somme équivalente à la part qu’il détient dans la maison. Cela n’est possible que si la maison a été acquise grâce à un crédit immobilier n’ayant pas été remboursée en intégralité. La seconde option permet au conjoint désireux de conserver la maison de procéder au payement de la soulte dû à l’agence immobilière. Cela lui permet de devenir propriétaire unique du bien. Cette possibilité est faisable même si le prêt immobilier n’a pas été remboursé totalement.
Vendre la maison
Il peut arriver que les deux conjoints ne souhaitent pas conserver la maison après le divorce. Dans ce cas, ils peuvent s’entendre pour revendre le bien immobilier dont il s’agit. Ces derniers auront toujours le choix entre vendre le bien avant ou après la procédure de divorce. Cependant, il est plus sage que le couple procède à la vente du bien immobilier avant le lancement de la procédure de divorce. Cela leur permettra de ne pas être soumis aux frais qui pourraient empiéter sur leur budget.